L'homme, vétu d'une combinaison reptilienne, (mon côté prof de svt ne peut pas s'empecher ici de rappeler qu'un batracien a la peau nue, contrairement aux reptiles qui ont des écailles...Bon, passons...) va seul sur scène nous faire passer une série d'émotions et de questionnement sur notre état d'homme, nos souffrances, nos plaisirs. Nous passons, je cite le chorégraphe : "du bestial à l'humain, de la plus infâme laideur à la plus grande beauté, de l'indigne au divin". A part les 5 minutes dans le noir au début du spectacle (décidément c'est très à la mode en ce moment cette façon de retarder la levée du rideau dans la totale obscurité!), c'était très bien.
Ensuite, nous sommes allées voir "Rencontre improvisée" de Clara Cornil et Nguyen Xuan Son, interprétée par la chorégraphe, elle-même. Mouvements de corps, désarticulés ou lents fluides sur des sons que je ne saurai qualifier. Très émouvant.
Voilà, voilà....
Ben oui.
Après on est allées s'en "jeter un"
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